Facturation électronique : STOP à la panique et à la pression commerciale !

À mesure que l’échéance approche, la facturation électronique suscite de plus en plus d’inquiétudes chez les dirigeants d’entreprises. Entre la communication floue, les discours anxiogènes, le jargon technique et la pression liée aux intérêts commerciaux cachés, difficile d’y voir clair.

Pourtant, il est possible d’aborder cette transition sereinement, à condition d’être bien accompagné. Chez Simpleter, nous avons une conviction : la facturation électronique ne doit pas être une contrainte, encore moins une source de stress. 

 D’abord, un peu de clarté 

La réforme impose simplement à toutes les entreprises l’émission et la réception de factures électroniques structurées (format UBL, Factur-X, CII…), reposant sur l’infrastructure européenne PEPPOL pour transmettre ces factures. En France, cette transmission de factures se fera via des Plateformes Agréées (les fameuses PA), des intermédiaires certifiés pour transmettre les factures à l’administration et entre entreprises. 

Pour les grandes entreprises, l’échéance est fixée à septembre 2026. Pour les entreprises de taille plus modeste, ce sera en septembre 2027. Et pour les entreprises belges ce sera dès le 1er janvier 2026. 

Mais rassurez-vous : tous ces formats et toutes ces PA sont interopérables, vos factures pourront être reçues et traitées par n’importe quelle PA. Des solutions existent pour que chacun garde son outil métier, tout en étant conforme. 

La fausse diversité des PA : un secret bien gardé

 Ce que peu d’acteurs vous expliquent clairement, c’est que de nombreuses PA vendues pa des éditeurs sont en réalité des interfaces en marque blanche (c’est-à-dire des PA re-brandées de PA tierces, sous leur propre nom). Une PA en marque blanche signifie que l’éditeur n’a pas sa propre infrastructure certifiée, mais utilise celle d’un tiers. Les éditeurs ne sont que très rarement clairs sur le fait qu’ils utilisent une PA tierce en marque blanche. 

Le site de la DGFiP précise d’ailleurs qu’il ne distingue pas les PA technique directe des PA marques blanches dans la liste des PA immatriculées. Cela signifie que des éditeurs de logiciels peuvent donc apparaître comme PA alors qu’ils utilisent l’infrastructure d’un tiers.

Résultat : on vous fait croire qu’il y a une multitude de solutions, mais les flux passent souvent par les mêmes tuyaux ! Cela peut impliquer des coûts supplémentaires, une dépendance technique, et parfois l’obligation d’utiliser un logiciel de comptabilité spécifique pour accéder à la PA. 

Ce qu’on ne vous dit pas non plus : vous êtes peut-être déjà conforme sans acquérir de PA, ni de logiciel de comptabilité ! 

Si votre logiciel métier (comme Simpleter) sait émettre et recevoir les factures au bon format, vous êtes certainement déjà conforme à la réforme sans rien changer. 

Pourquoi ? Parce que 95% des PME travaillent avec un expert-comptable externe. Les entreprises peuvent déléguer la transmission des factures à leur expert-comptable. Pour continuer à exercer, tout expert-comptable devra être connecté à une PA officielle. Donc vos factures, envoyées via votre outil métier au bon format, arrivent directement chez lui, sans que vous ayez à faire quoi que ce soit de plus. 

Avec Simpleter, pas d’entourloupe :  

• Vous gardez votre ERP métier 
• Votre comptable garde son logiciel de comptabilité et sa PA 
• Et les factures s’échangent dans un format standard, sans friction 

De nombreux éditeurs de logiciels de comptabilité ont obtenu une immatriculation comme PA, la plupart du temps en marque blanche.

Ces éditeurs incitent fortement les experts-comptables à recommander leur solution à leurs clients, souvent avec des commissions ou avantages financiers pour chaque client apporté. 

Cela crée une pression commerciale sur les entreprises, qui se voient proposer des offres packagées (logiciel + PA) alors qu’elles n’en ont pas besoin si elles utilisent un ERP comme Simpleter. 

La promesse Simpleter : zéro stress, zéro dépendance 

Notre ERP sait déjà gérer le format électronique UBL exigé par la réforme. Nos clients belges seront concernés dès le 1er janvier 2026. C’est pourquoi notre ERP est déjà prêt. 

Nous avons tout testé, tout validé, tout automatisé. Alors, pourquoi attendre pour vous tranquilliser ? 

Concrètement : 

• Vous émettez et recevez vos factures au format UBL via votre logiciel métier Simpleter
• Simpleter transmettra automatiquement les factures au bon format à votre expert-comptable externe via sa PA, même si vous-même vous n’avez pas de PA vous-même o
• Vous êtes déjà conforme ainsi, sans acquérir le logiciel de comptabilité de votre expert-comptable, ni sa PA ! 

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